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Flière viandes rouges

»  News   »  Publié le 18-08-2015  »  lu [ 4088 fois ]

Flière viandes rouges

Relance de la filière viandes rouges : Pour un partenariat responsable entre la tutelle et les éleveurs

« Cette rencontre entre dans le cadre des discussions avec les professionnels de l’élevage et la mise en valeur du secteur en vue de relancer les parcours de pâturage dans les zones steppiques, semi-steppiques et le sud du pays », a déclaré le ministre.

Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Sid-Ahmed Ferroukhi, a affirmé, hier, à Alger, la volonté de l’Etat de développer la filière de l’élevage et de la production des viandes rouges en vue de diversifier l’économie nationale et surtout de satisfaire les besoins de consommation en matière de qualité et de prix. Cette première rencontre fait suite à la série de discussions que le premier responsable du secteur a enclenchée avec les représentants des différentes filières en vue de dynamiser le secteur et surtout d’établir « un partenariat responsable entre le ministère et les opérateurs économiques basé sur la franchise et la confiance ».

« Cette rencontre entre dans le cadre des discussions avec les professionnels de l’élevage et la mise en valeur du secteur en vue de relancer les parcours de pâturage dans les zones steppiques, semi-steppiques et le sud du pays », a déclaré le ministre. « Elle participe également à l’amélioration des produits à exporter et à la satisfaction des besoins de consommation nationale, la modernisation des techniques d’élevage », affirme-t-il, ajoutant que « l’organisation du secteur nécessite une coordination responsable entre les professionnels et l’administration ». Cette filière représente, dira Ferroukhi, 50% de la production nationale et plus de 200.000 éleveurs.

D’importantes négociations sont engagées, selon le ministre, pour la relance et la modernisation de la filière dans l’objectif d’augmenter la production et d’améliorer les prix et la qualité. Le ministre a émis le souhait de promouvoir ces organisations au niveau local, notamment en insistant sur la concertation pour le renforcement des régions montagneuses, sahariennes et steppiques. « Le plus important, dit-il, est que les négociations restent ouvertes pour que toutes les problématiques et les contraintes rencontrées trouvent des solutions aux niveaux central et local. Le chemin est long et un travail de longue haleine nous attend. Il faut libérer les capacités, aider et encourager la filière pour un développement économique qui sera au niveau des attentes du citoyen et du programme de l’Etat.

Les éleveurs, a soutenu Ferroukhi, sont le maillon principal de la chaîne de production des viandes rouges. « Mon vœu est de construire l’avenir avec les professionnels », précise-t-il, sans omettre les petits éleveurs. Des rencontres de terrain auront lieu dans les semaines à venir en vue d’une « forte mobilisation en faveur du secteur et de l’économie nationale », a annoncé le ministre. Le président de la Fédération nationale des éleveurs, Azzaoui Djilali, a relevé, pour sa part, le manque d’organisation du circuit de commercialisation, tout en évoquant les difficultés auxquelles les maquignons font face, dont le manque de fourrage et d’eau dans certaines régions steppiques et sahariennes et les maladies qui touchent le cheptel. Il a, dans ce sens, appelé à renforcer le contrôle vétérinaire et à fournir les vaccins nécessaires.

Concernant les prix du mouton à l’approche de l’Aïd El-Adha, Azzaoui a tenu à rassurer les citoyens affirmant que le cheptel est disponible et que les prix seront abordables. Chenafa Merzak, membre de la fédération et responsable local à Naâma, a plaidé, quant à lui, pour « le soutien des viandes par l’Etat, comme il le fait pour d’autres produits de consommation. Nous sommes contre l’importation, le citoyen doit manger de la viande fraîche », dit-il. Belkacem Mezrou, un autre éleveur de Biskra, a affirmé que « le prix moyen du mouton se situerait, cette année, entre 35.000 et 45.000 DA ».

Le représentant de l’Union nationale des paysans algériens, Mohamed Tahar Djaref, a, pour sa part, souligné la nécessité de multiplier les rencontres pour apporter les solutions aux problèmes rencontrés par les éleveurs, soulignant que son instance « ne ménage aucun effort pour développer et moderniser la filière de production des viandes ».


Source : http://www2.horizons-dz.com/


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