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»  News   »  Publié le 02-06-2013  »  lu [ 1290 fois ]

Marchés

Les Bourses européennes terminent la semaine en repli


Les Bourses européennes ont terminé la semaine en net repli, victimes de prises de bénéfices durant la dernière séance du mois de mai, qui se solde par une nouvelle progression.L'indice paneuropéen FTSEurofirst 300 a reculé de 0,66% à 1 219,34 points, son plus bas niveau de clôture depuis trois semaines. A la clôture, l'indice CAC 40 a lâché 47,72 points pour s'inscrire à 3 962,46 points, dans un volume d'échanges plus étoffé que d'habitude avec 4 milliards d'euros échangés. Sur le front des valeurs, les titres liés aux télécommunications ont été affectés par une étude de JP Morgan selon laquelle la guerre des prix en France dans ce secteur va peser sur les bénéfices des grands groupes. Iliad a cédé 3,09% à 161,4 euros, France Télécom 3,28% à 7,84 euros, Bouygues 1,32% à 20,57 euros et Vivendi 1,97% à 15,17 euros. LVMH a perdu 1,23% à 136,65 euros après avoir été condamné à verser par le collège de l'Autorité des marchés financiers (AFM) une sanction de 10 millions d'euros dans le cadre de sa montée dans le capital de d'Hermès fin 2010. Le sellier a lâché 0,60% à 275,20 euros. Veolia Environnement a cédé 0,20% à 9,60 euros, en dépit d'un contrat de 3,5 milliards d'euros remporté par sa division eau avec le distributeur d'eau londonien Thames Water. Parmi les hausses, le secteur automobile, hormis Peugeot (-3,41% à 6,82 euros), a réalisé un beau parcours : Faurecia a gagné 2,56% à 17,4 euros, Michelin 0,92% à 67,78 euros et Valeo 0,54% à 57,75 euros).

Renault qui avait commencé la journée sur un recul a terminé dans le vert (+ 0,69% à 59,76 euros). Le constructeur automobile a indiqué avoir des discussions sur des "coopérations limitées" avec son concurrent japonais Mitsubishi Motors mais qui n'ont pas abouti pour l'heure.L'indice vedette Dax a cédé sur la séance 0,61% à 8 348,84 points, tandis que l'indice des valeurs moyennes MDax s'est inscrit dans une tendance similaire, avec un recul de 0,30% à 14 093,59 points.Du côté des valeurs allemandes, l'opérateur boursier Deutsche Börse a été la valeur la plus recherchée par les investisseurs, avec une hausse de 2,18% à 49,79 euros. Commerzbank a de son côté progressé de 0,66% à 8,08 euros. Son patron a indiqué dans une interview au quotidien populaire allemand Bild que la banque ne prévoyait pas de nouvelle augmentation de capital, après avoir levé en mai 2,5 milliards d'euros. Deuxième plus forte baisse après ThyssenKrupp (-2,31% à 15,45 euros), Deutsche Telekom a perdu 1,95% à 8,84 euros. L'opérateur télécoms a dévoilé l'offre à ses actionnaires pour recevoir leur dividende en nouvelles actions. Ils peuvent ainsi recevoir, au lieu de 0,70 euro par action en argent, une action nouvelle pour 12,5 droits à un dividende. Cela valorise donc l'action distribuée à 8,75 euros. Le SMI a perdu 0,93% à 7 947,01 points. Sur la semaine, l'indice vedette de SIX a abandonné 2,7%. Le SLI a reculé de 0,58% à 1 205,51 points et le SPI de 0,78% à 7 495,05 points. Sur les 30 blue chips, 18 ont reculé, dix avancé et deux sont restés stables. Les plus gros perdants du jour sont Adecco (-2,6%) et Nestlé (-1,9%). Selon des courtiers, Nestlé a souffert d'un changement au sein de l'indice MSCI et qui obligeait les intervenants orientés sur les indices à vendre un bon million de titres jusqu'à la clôture.

Les pharma Roche (-1,4%) et Novartis (-0,7%) ont aussi pesé. Novartis a obtenu des recommandations positives de l'EMA pour ses médicaments Lucentis et Glivec. Malgré sa récente correction, Roche a gagné près de 30% depuis le début de l'année, Novartis près de 20%. Swatch (-1,1% ou -6,00 francs) était traitée hors dividende de 6,75 francs par porteur. Vontobel a publié une étude positive sur Swatch avec relèvement de l'objectif de cours à 630 de 600 francs et recommandation maintenue à "buy".  
L'indice FTSE-100 des principales valeurs a perdu 73,90 points soit 1,11% par rapport à la clôture de la veille, à 6 583,09 points.
Le secteur minier a fini en nette baisse, à l'image d'ENRC (-4,76% à 239,9 pence), Vedanta Resources (-3,37% à 1 262 pence), Glencore Xstrata (-3,07% à 323,1 pence) ou encore Anglo American (-2,27% à 1 526,5 pence). Du côté des gagnants, les banques ont progressé, avec Royal Bank of Scotland (RBS) (+1,54% à 336,6 pence) et Lloyds Banking Group (+0,50% à 62,11 pence).  

Wall Street finit en nette baisse, rattrapée par ses craintes sur la Fed
La Bourse de New York a fini en nette baisse la dernière séance du mois, rattrapée notamment par la nervosité du marché concernant la politique monétaire américaine, sur fond de chiffres mitigés aux Etats-Unis: le Dow Jones a lâché 1,36% et le Nasdaq 1,01%.
Selon les résultats définitifs à la clôture, le Dow Jones Industrial Average s'est replié de 208,96 points à 15 115,57 points et le Nasdaq, à dominante technologique, de 35,39 points à 3 455,91 points. Le Standard & Poor's 500 a lâché quant à lui 1,43% (-23,67 points) à 1 630,74 points.Après une entrée en matière hésitante et une brève incursion en territoire positif, les indices boursiers ont plongé de plus de 1% en fin de séance, victime d'importants mouvements de ventes. La nervosité des courtiers, peu nombreux sur la place financière en cette fin de semaine, s'est aussi traduite par une forte remontée de l'indice dit de la peur mesurant la volatilité du marché, qui a fini à son plus haut depuis la mi-avril.Comme le reste de la semaine, cette séance a été très décousue, sans direction particulière, ce qui peut s'expliquer en partie aujourd'hui par des ajustements de portefeuilles réalisés par les investisseurs en fin de mois, a expliqué Steven Rosen, de la Société Générale à New York.D'autre part, le marché était miné par une guerre entre les différentes lectures des données économiques américaines, a expliqué Gregori Volokhine, de Meeschaert New York.

En effet, une intervention la semaine dernière du président de la Réserve fédérale américaine (Fed), Ben Bernanke, a renforcé les attentes d'un ralentissement anticipé des mesures de soutien exceptionnelles de l'institution à l'économie en cas d'amélioration durable de la conjoncture.C'était une séance typique aujourd'hui: le marché ne sait pas s'il veut avoir de bonnes statistiques ou des mauvaises statistiques, l'un impliquant que la Fed ne sera plus derrière le marché, et l'autre impliquant que l'économie ne va pas si bien, a-t-il résumé. Ainsi, l'annonce d'un tassement inattendu des dépenses de consommation et des revenus des ménages en avril aux Etats-Unis a plombé les indices à l'ouverture, avant que la nouvelle d'une forte augmentation de l'activité économique de la région de Chicago puis du rebond du moral des ménages en mai ne leur redonnent un coup de pouce. Mais la bonne humeur des investisseurs s'est avérée de courte durée, et très vite, les vendeurs ont repris le dessus, a relevé Steven Rosen, selon qui cela annonce une semaine prochaine tout aussi incertaine. Sur le front des valeurs, le groupe informatique Dell, qui a une nouvelle fois recommandé le soutien de son projet de rachat par son P-DG-fondateur Michael Dell en vue d'un retrait de la Bourse, s'appréciait de 0,90% à 13,39 dollars. Le groupe de produits de grande consommation Procter & Gamble, qui doit former prochainement une nouvelle équipe dirigeante, après le rappel de son ancien P-DG Alan George Lafley, selon la presse américaine, cédait 2,47% à 77,14 dollars. Le fonds d'investissement immobilier American Realty Capital Properties (ARCP) abandonnait 3,06% à 15,28 dollars après l'annonce, avant-hier, d'un accord avec GE Capital, filiale financière du conglomérat industriel GE (+0,19% à 23,65 dollars), pour le rachat d'un portefeuille d'actifs de 807 millions de dollars. Le groupe d'habillement américain Guess s'envolait de 10,97% à 32,57 dollars, les investisseurs applaudissant l'annonce d'un bénéfice trimestriel meilleur que prévu. Les valeurs bancaires, championnes de la séance la veille, évoluaient en ordre dispersé: Bank of America avançait de 0,51% à 13,90 dollars, Morgan Stanley de 1,63% à 26,24 dollars, Goldman Sachs de 0,35% à 164,92 dollars mais Citigroup reculait de 0,62% à 52,94 dollars et JPMorgan Chase de 0,39% à 55,40 dollars.

Tokyo finit en hausse de 1,37% au lendemain d'un plongeon de 5%
La Bourse de Tokyo a terminé la semaine en nette hausse de 1,37%, au lendemain d'un plongeon de plus de 5%, rassurée par la résistance des places financières occidentales et par un effritement du yen. A la clôture, l'indice Nikkei 225 des valeurs vedettes a grimpé de 185,51 points à 13 774,54 points. Sur la semaine, il a néanmoins chuté de 5,73%. Sur l'ensemble du mois de mai, il s'est effrité de 0,62%, son premier mois de repli depuis l'arrivée au pouvoir du conservateur Shinzo Abe fin décembre. Mais il reste en très forte hausse de 32,51% depuis le début de l'année. L'indice élargi Topix de tous les titres du premier tableau a pour sa part quasiment stagné, ne gagnant que 0,12%, soit 1,36 point à 1.135,78 points. L'activité a été très intense, avec 4,15 milliards d'actions échangées sur le premier marché. La place tokyoïte a bien réagi après son plongeon de 5,15% subi la veille, sur fond d'inquiétude pour la stabilité du marché après six mois de hausse quasi continue. La chute de la veille avait suivi d'autres fortes baisses, de plus de 3% lundi et surtout de 7,32% une semaine auparavant, coup d'envoi d'une série de prises de bénéfices après des mois d'euphorie. Le yen a en outre reperdu un peu de terrain face au dollar et à l'euro, ce qui constitue toujours un bon incitateur à l'achat. Un yen plus faible élève en effet mécaniquement la valeur des revenus tirés de l'étranger par les groupes nippons, lorsqu'ils les convertissent en yens. Des indicateurs publiés dans la matinée ont achevé de rassurer les courtiers, avec une progression de la production industrielle au Japon en avril (sur un mois) et le maintien du taux de chômage au plus bas depuis plus de quatre ans et demi. Sur le plan des valeurs, le secteur de l'immobilier attaqué ces derniers jours s'est en partie repris. Heiwa Real Estate s'est hissé de 3,66% à 1 870 yens et Mitsui Fudosan de 1,45% à 2 863 yens. Parmi les autres hausses notables, le groupe de bureautique Ricoh a gagné 1,60% à 1 210 yens, le constructeur de robots industriels Fanuc 4,31% à 15 240 yens et le groupe d'habillement Fast Retailing (marque Uniqlo) 5,12% à 34 900 yens. Le fabricant d'électronique Sony a grimpé pour sa part de 2,09% à 2.049 yens. Une chaîne de télévision a rapporté que sa direction avait embauché deux banques d'investissement pour étudier la proposition d'un fonds activiste, présent dans son capital, qui voudrait que le groupe mette en Bourse une partie de ses activités dans les médias.


Source : http://www.lemaghrebdz.com/


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